Après les très vives critiques émises contre le Human Brain Project et notamment sa gouvernance, trois entités ont été mises en place pour diriger et faire avancer le programme de recherches sur le cerveau. Lancé par l’EPFL, le projet devait être «décentralisé».
Figure controversée
La structure est prête pour la phase opérationnelle. Trois entités sont désormais responsables de la gouvernance et de la direction: le conseil des parties (Stakeholder Board SB), le conseil de la science et des infrastructures (Science and Infrastructure Board SIB) et la direction.
Les décisions finales seront prises par le SB composé des dix-neuf pays qui participent au projet. La Suisse est représentée par Patrick Aebischer, président sortant de l’EPFL et à l’origine de l’aventure Human Brain Project. La présidence du SB revient à Matthew Lambon-Ralph, de l’Université de Manchester. Katrin Amunts du Forschungszentrum Jülich et de l’Université Heinrich Heine de Düsseldorf préside le SIB. Henry...