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Gaspillage et chiffre d’affaires ne font pas bon ménage

Les grands distributeurs font tout pour éviter le gaspillage alimentaire, pour des raisons écologiques mais aussi économiques.

04 oct. 2017, 23:22
/ Màj. le 05 oct. 2017 à 00:01
ARCHIV --- Frisches Gemuese, Tomaten und Salat von M-Bio Frischland, liegen am 20. Januar 2005 auf einer Auslage im Migros Limmatplatz in Zuerich. Nach dem Rekord im Vorjahr hat die Migros 2007 weniger verdient: Der Reingewinn sank um 4,5 Prozent auf 801 Mio. Franken. Dies ist auf den Wegfall ausserordentlicher Finanzertraege zurueckzufuehren, die im Jahr 2006 den Gewinn nach oben gedrueckt hatten.  (KEYSTONE/Martin Ruetschi)     SCHWEIZ MIGROS BILANZ 2007

«Le gaspillage alimentaire ne profite à personne: les invendus coûtent et ne rapportent rien», explique Tristan Cerf, porte-parole de Migros. La lutte contre ce phénomène commence dès la commande. «Chaque filiale achète donc les produits frais de jour en jour, selon divers facteurs comme les ventes de l’année dernière à la même date, la météo et les jours de congé dans la semaine», poursuit le porte-parole.

Le géant orange a été le premier à introduire le fameux Migros Data. Et il tient à conserver la mention de la double date sur ses produits: à vendre avant et à consommer avant, ce qui laisse plus de temps aux clients pour manger les denrées achetées et lutter contre le gaspillage domestique.

Sur sol helvétique, un ménage de quatre personnes jette jusqu’à 100 kg de nourriture par an. Et les particuliers sont responsables de plus de 30% des déchets alimentaires.

Accommoder les restes...

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