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Vive le peintre à l’oreille coupée!

Peint par une centaine d’artistes, ce film d’animation constitue une aventure perceptive aussi inédite qu’inouïe destinée à tous, amateurs ou non de son œuvre.

11 oct. 2017, 23:08
/ Màj. le 12 oct. 2017 à 00:01
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Paris, été 1891. Armand Roulin est chargé par son père Joseph, pourtant facteur de métier, de remettre en mains propres une lettre de Vincent Van Gogh à son frère Théo. Le jeune homme se montre plutôt rétif à rendre ce service, car il n’apprécie guère que son père ait connu ce peintre marginal à la réputation sulfureuse, dont on vient d’apprendre le suicide…

Tableaux vivants

Ainsi commence «La passion Van Gogh» («Loving Vincent» de son titre original), un long métrage d’animation à nul autre pareil, qui s’efforce de lever le voile sur la relation aux autres et au monde d’un artiste de génie. Dans sa dernière missive, Van Gogh a écrit: «On ne peut s’exprimer que par nos tableaux.» Respectivement issus de l’école de cinéma de Varsovie et de la National Film & Television School près de Londres, les cinéastes Dorota Kobiela et Hugh Welchman l’ont littéralement pris au mot!...

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