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Donner ses organes: un choix délicat

Pour ne pas laisser le fardeau de la décision à ses proches, il est important d’exprimer clairement son avis sur le sujet.

05 sept. 2017, 23:34
/ Màj. le 06 sept. 2017 à 00:01
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anne devaux

anne.devaux@lacote.ch

Lorsque le sujet du don d’organes est abordé en théorie, la population suisse s’y montre favorable dans sa grande majorité.

Malheureusement, en pratique, lorsque la question se pose dans l’urgence, les médecins des soins intensifs constatent que peu de personnes possèdent une carte de donneur. Rares sont ceux, également, qui ont affirmé sans aucun doute possible leur position auprès de leurs proches. Le modèle du consentement au sens large est en vigueur en Suisse. Les organes ne peuvent être prélevés que s’il existe un consentement du donneur ou, s’il n’a pas exprimé sa volonté de son vivant, un accord de ses proches.

Le don d’organes est géré par la fondation nationale suisse Swisstransplant. A l’intérieur du système, le Programme latin de don d’organes (PLDO) travaille avec 13 hôpitaux partenaires dans les sept cantons latins.

En parler avec ses proches

Un don d’organe peut se faire de son...

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