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Par la colère du lion

15 nov. 2017, 23:10
/ Màj. le 16 nov. 2017 à 00:01
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Ab ira leonis… la devise romaine aux origines de la plus grande commune de France était-elle prémonitoire? La question peut se poser en considérant la ténacité rageuse de celle qui est devenue la troisième ville des Bouches-du-Rhône.

En plus de ses fêtes traditionnelles et de ses rendez-vous culturels – musique, théâtre et surtout photographie – Arles peut encore s’enorgueillir de son inscription au Patrimoine mondial de l’Unesco… un privilège que Nîmes, la voisine rivale, en est encore à revendiquer.

«Ajoutez à cela la nomination de Françoise Nyssen (cofondatrice des Editions Actes Sud, fierté arlésienne) en tant que ministre de la Culture, et vous comprendrez que nous puissions rugir de fierté», sourit Francine Riou, à l’Office du tourisme. Et de relever que l’économie culturelle génère 4000 emplois, soit plus de 20% de la population active locale.

Si Aix baigne dans la lumière de Cézanne, la capitale de la Camargue vibre aux...

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