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Moscou pousse à la signature d’une trève renforcée

Des pourparlers de paix entre rebelles syriens et représentants du régime de Damas ont commencé, hier, à Astana, au Kazakhstan.

23 janv. 2017, 23:42
/ Màj. le 24 janv. 2017 à 00:01
Mohammed Alloush, center, head of a Syrian opposition delegation, and other members attend talks on Syrian peace in Astana, Kazakhstan, Monday, Jan. 23, 2017. The talks are the latest attempt to forge a political settlement to end a war that has by most estimates killed more than 400,000 people since March 2011 and displaced more than half the country's population. (AP Photo/Sergei Grits) Kazakhstan Syria

Le regard sombre, ils se sont brièvement fait face dans la même pièce, autour d’une immense table circulaire, mais uniquement pour la photo de famille et pour écouter poliment les compliments diplomatiques de circonstance.

Puis chacun s’en est remis à l’émissaire de l’ONU, Staffan de Mistura, pour jouer les médiateurs. Au premier jour de la réunion d’Astana, destinée à consolider le cessez-le-feu en Syrie, les délégations du régime et des rebelles ont échoué à négocier en tête à tête, signe de l’acrimonie qui règne autour de ces pourparlers de paix organisés dans la capitale kazakhe, sous l’égide de l’Iran, de la Turquie et surtout de la Russie.

Moscou prêt à sortir

Hier, le Kremlin tentait d’arracher un accord aux belligérants, mais les négociations de paix sont à l’image de cette guerre qui a fait près de 300 000 victimes, confuse et tentaculaire.

Placés sur la défensive depuis la reprise d’Alep-Est...

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