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«Négocier une sortie qui soit digne»

Plusieurs scénarios se profilent après le «vrai faux coup d’Etat» contre Mugabe.

17 nov. 2017, 00:21
epa06330455 (FILE) - Zimbabwean President Robert Mugabe (L) inspects a guard of honour before officially opening the 107th edition of the Harare Agricultural Show in Harare, Zimbabwe, 25 August 2017 (reissued 15 November 2017). The Zimbabwe National Army (ZNA) has reportedly taken control over the government of President Robert Mugabe. The army seized the national broadcaster's headquarters (ZBC) on 14 November night, to announce that President Mugabe and his family were safe but without citing their whereabouts. The military denied it staged a coup d'etat.  EPA/AARON UFUMELI (FILE) ZIMBABWE CRISIS MILITARY CONTROL

La situation restait confuse hier au Zimbabwe, au lendemain d’un coup de force inédit de l’armée qui a placé Robert Mugabe, 93 ans, en résidence surveillée après l’avoir soutenu pendant ses trente-sept ans de règne. Le président, a refusé de démissionner après le coup de force militaire de ces derniers jours, lors d’un entretien hier avec des généraux.

Une démission négociée est l’un des scénarios envisagés pour engager la succession du plus vieux chef d’Etat au monde. L’analyse de Victor Magnani, politologue, spécialiste de l’Afrique australe à l’Ifri (Institut français des relations internationales) à Paris.

Hier encore, le devenir du président Mugabe restait incertain. Quel est le scénario le plus probable en butte à sa succession?

Le sort de Mugabe sera évidemment la clé du futur du pays. Les militaires prennent beaucoup de précautions pour ne pas apparaître comme des putschistes. Si Mugabe reste au pouvoir, il sera plus difficile...

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