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Russie un peu plus compromise après le crash du MH17

Selon les enquêteurs, c’est un missile russe tiré par les rebelles qui a abattu un Boeing en 2014, tuant 298 personnes, dont de nombreux Néerlandais.

28 sept. 2016, 23:31
/ Màj. le 29 sept. 2016 à 00:01
ZUR HEUTIGEN PRAESENTATION DER ERGEBNISSE DER INTERNATIONALEN ERMITTLER UEBER DIE ABSCHUSSURSACHE VON MH17, STELLEN WIR IHNEN AM MITTWOCH, 28. SEPTEMBER 2016, FOLGENDES ARCHIVBILD ZUR VERFUEGUNG - epa04340092 Debris of the Boeing 777 at the Malaysia Airlines Flight MH17 plane crash site, near the village of  Rozsypne in Eastern Ukraine, 03 August 2014. Investigators searched a second site of wreckage from the aircraft in the rebel-controlled region. Both Dutch and Australian forensic experts and police officers worked near the village of Rozsypne.  EPA/Jerry Lampen NIEDERLANDE INTERNATIONALE ERMITTLER ABSCHUSSURSACHE MH17

Les circonstances du crash de l’avion de ligne de la Malaysia Airlines au-dessus du territoire ukrainien alors en guerre, le 17 juillet 2014, ne font désormais plus de doutes: le vol MH17 qui reliait Amsterdam à Kuala Lumpur, avec 298 personnes à bord, a bien été abattu par les rebelles séparatistes prorusses à l’aide d’un missile BUK qui a été convoyé de Russie pour cette opération, avant de revenir à son point de départ, a indiqué hier un représentant du parquet néerlandais, Wilbert Paulissen. Ces conclusions sont le fruit d’une enquête menée par douze pays, dont les Pays-Bas, l’Ukraine, la Malaisie et les Etats-Unis, et qui devrait se poursuivre jusqu’en 2018.

La grande majorité des victimes de la catastrophe étaient néerlandaises. Dans les jours qui avaient suivi, les puissances occidentales adoptaient des sanctions économiques renforcées à l’encontre de Moscou. Le rapport a été aussitôt contesté par un représentant des républiques...

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