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La truite sous la loupe d’Amandine

Une étudiante observe les truites et les causes de leur migration à la Maison de la Rivière.

25 juil. 2017, 23:32
/ Màj. le 26 juil. 2017 à 00:01
Maison de la Riviere ici Amandine Pillonel étudiante qui prepare un travail de diplome sur la truite Tolochenaz le 21.7.2017 © photo Michel Perret Maison_Riviere_Tolochenaz_21_7_2017

texte noémie desarzens photos michel perret

morges@lacote.ch

«Les rivières ont de plus en plus d’obstacles, comme des barrages ou des centrales hydroélectriques qui empêchent les truites de revenir s’y reproduire. Cette interruption dans la migration entraîne une perte de diversité génétique, qui cause notamment des malformations», explique Amandine Pillonel, étudiante en fin de Master à la Haute école du paysage, d’ingénierie et d’architecture (hepia) de Genève. Installée à la Maison de la Rivière pour son travail de recherche, elle va dédier ces huit prochains mois à l’étude de la truite. Plus précisément à l’analyse des facteurs qui influencent sa dévalaison, c’est-à-dire la migration de certains spécimens vers le lac. «Nous connaissons peu les facteurs qui influencent la migration des truites», précise cette jeune scientifique.

Sous la loupe

Ses recherches au Boiron de Morges l’enchantent: «C’est pratique car j’ai tout sur place, le laboratoire et le terrain. En plus,...

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