sophie zuber
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La Vaux-Lierre d’Etoy, un centre de soins qui recueille les oiseaux sauvages blessés, fonctionne comme un véritable hôpital. En effet, la petite cabane juchée aux limites d’Etoy et de Saint-Prex contient une partie ambulatoire et une volière séparée en guise de centre de remise en forme. «Une convalescence peut durer des semaines, voire des mois. L’important c’est qu’ils retrouvent leur liberté», soutient Frédéric Telfser, vétérinaire et président de l’association de la Vaux-Lierre.
Depuis trois décennies, des bonnes âmes déposent des oiseaux blessés dans des cages à l’entrée du bureau ou les confient directement à l’équipe de soins. «Ces casiers sont utiles lorsque le centre est fermé», explique Frédéric. Il rassure: «Nous sommes ouverts 7 jours sur 7 et 365 jours par année. Les oiseaux ne restent jamais seuls bien longtemps.» Propriétaire de locaux flambant neufs depuis deux ans, l’association de la Vaux-Lierre est chapeautée par...