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«Je suis le Zorro des impôts!»

Le métier de fiduciaire n’est pas aussi austère que l’on pourrait croire. Rencontre avec Bertrand Bochez.

10 févr. 2016, 23:28
/ Màj. le 11 févr. 2016 à 00:01
Nyon, mardi 9 février 2016
Portrait de Bertrand Bochez à Nyon

Sigfredo Haro

Christelle Maillard

cmaillard@lacote.ch

Il n’a «ni l’habit de pingouin ni la cravate ou l’attaché-case des comptables», comme il aime se décrire. Et pourtant, Bertrand Bochez connaît très bien l’univers des chiffres. Il est fiduciaire indépendant depuis vingt-deux ans à Nyon.

Pourquoi devenir fiduciaire?

Ce n’était pas tout à fait mon idée. Je voulais être biologiste. Mais, un soir, mon père est arrivé avec un contrat d’apprentissage signé. J’ai mis un petit peu de temps à avaler la pilule et après, je me suis pris au jeu. Mais je n’ai pas toute de suite travaillé dans le domaine. J’ai d’abord été caviste au Grand Passage, vigneron à Begnins le temps d’un été et comédien amateur.

Qu’est-ce qui vous a fait revenir dans le métier?

Il fallait bien que je me paie mon steak. Alors, je suis retourné chez mon maître d’apprentissage. Ensuite, une grande boîte genevoise m’a embauché durant...

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