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Nyon: c'est le parcours du combattant pour les parents d'une enfant malade

La petite Léa, atteinte de la maladie de purpura, ne pourra désormais plus fréquenter le bâtiment scolaire des Tattes d'Oies, malgré les difficultés qu'implique le changement de lieux de scolarité.

24 août 2016, 16:12
La petite Léa ne retournera plus au bâtiment scolaire des Tattes d'Oie.

Lundi dernier, les enfants gagnaient leurs nouvelles classes, avec enthousiasme pour la plupart. Mais Léa, une petite fille de 8 ans, n’a pas rejoint ses nouveaux camarades. La fillette est atteinte de la maladie Purpura de Henoch-Schönlein, qui atteint sa peau, ses intestins et ses reins. Déclarée en décembre 2014, la maladie chronique nécessite donc un suivi médical et une attention particulière. 

Depuis ses quatre ans, la petite fille fréquentait l’école des Tattes d’Oie, à proximité du cabinet de son pédiatre et du domicile de sa grand-mère. Dans ce bâtiment, des mesures avaient été mises autour d’elle afin qu’elle puisse vivre sa vie d’enfant comme les autres, malgré son handicap. Mais cette année, malgré le combat de ses deux parents, elle doit changer de lieu de scolarité pour se rendre au Rocher, près de son domicile.

Les deux parents travaillant à 100%, c’est sa grand-mère qui s’occupait de l’enfant en dehors des heures de cours. C’est également elle qui la conduisait chez le pédiatre environ deux fois par semaine, parfois plus en cas de crise. Ça ne pourra désormais plus être le cas. Le nouveau bâtiment se situe à 1,9 kilomètre de chez elle, trop loin pour faire le trajet à pied plusieurs fois dans la journée. De plus, elle s’occupe déjà d’autres enfants.

Retrouvez la totalité de l'article dans nos édition de ce jeudi 25 août.

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