Pour un prix de 80 francs par mois, soit 960 francs par an, les automobilistes munis d'un macaron ont des places à leur disposition, dans leur quartier de résidence. Un prix que d’aucuns jugent élevés. Comme la conseillère communale UDC Béatrice Enggist qui est intervenue au sein de l’assemblée délibérante pour qualifier ce tarif de «prohibitif». Pour appuyer son argumentaire, elle a présenté une comparaison avec d’autres villes: il en coûte pour le même type de prestation 500 francs par an à Lausanne ou Morges, 140 francs à Genève, 170 francs à Montreux.
Une tarification qui vise la cohérence, pour la Municipalité
Pour la municipale de la police, Elisabeth Ruey-Ray la tarification nyonnaise «vise la cohérence», car elle tient compte de paramètres tels que l’offre générale de stationnement privée et publique. «Elle doit, en particulier, éviter de concurrencer le stationnement sous terrain exigé, en principe, dans toute nouvelle construction», observe-t-elle.
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