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Avec "Make Me Run", Ellen Sprunger et ses amies vous font courir avec fun

Ellen Sprunger et ses amies ont lancé «Make Me Run» pour faire courir tout un chacun. Rendez-vous les jeudis à Colovray (18h30 à 19h30).

22 mars 2017, 14:06
Sandy Robatel, Julia De Pietro et Ellen Sprunger (de g. à dr.) ont lancé "Make Me Run", pour faire bouger les gens, quel que soit leur niveau.

«L’idée nous trottait dans la tête depuis une année; nous voulions partager notre passion et faire bouger les gens.» Ainsi a démarré «Make me Run» (Fais-moi courir), le projet mis sur pied par Ellen Sprunger, Julia De Pietro et Sandy Robatel – trois amies qui se sont rencontrées grâce à l’athlétisme.

Lancé dès janvier sur un blog, il se décline depuis mars sur la piste. Chaque jeudi soir, rendez-vous à Nyon, sur le tartan de Colovray, pour une heure d’entraînement, de 18h30 à 19h30. Tout le monde est bienvenu, car «Make Me Run» prône l’universalité et l’accessibilité. «Peu importe les niveaux, nous pouvons participer à la même séance, ensemble, et en ressortir fatigués la même chose, même si nous n’avons pas couru à la même vitesse», dit Ellen Sprunger.

Repartir avec le sourire

Les trois copines planifient des séances variées, plus ou moins épicées. Jeudi dernier, il s’agissait de travailler l’endurance, à une intensité plus lente mais au rythme continu. Cette semaine, la séance s’annonce plus corsée. Sans dévier du but fixé. «Nous courrons une heure en nous amusant», lâche la Ginginoise, multiple championne de Suisse.

La course et le fun, rien que le fun; loin des longs footings en solitaire parfois fastidieux. Au sein de «Make Me Run», on s’affranchit du temps. «Il y a les objectifs de performance et ceux de bien-être, nous visons cette seconde catégorie», partage Julia De Pietro, maîtresse d’éducation physique.

Et cela plaît. «Si nous avions eu cinq à dix personnes au début de cette aventure, nous aurions déjà été contentes. Or, chaque semaine, le nombre progresse et nous dépassons les vingt participants; nous sommes étonnés, confie Sandy Robatel. Cela marche bien et tout le monde repart avec le sourire.»

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