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«On ne peut aller contre la fatigue»

Quelques jours après les JO de Rio, le relais était de retour sur la piste, à la Pontaise. Dur, dur pour les jambes.

25 août 2016, 23:32 / Màj. le 26 août 2016 à 00:01
Switzerland's Ellen Sprunger, right, and Salome Kora, left, are pictured after the women's 4x100m relay race  at the Athletissima IAAF Diamond League international athletics meeting in the Stade Olympique de la Pontaise in Lausanne, Switzerland, Thursday, August 25, 2016. (KEYSTONE/Jean-Christophe Bott).

de lausanne, florian sägesser

sports@lacote.ch

Dans un monde idéal, depuis mardi, elles auraient passé leur temps sur la table de massage. Evacuer les douze heures de vol séparant Rio de la Suisse. «Mais Athletissima est un meeting qui compte, nous devons faire avec les sollicitations médiatiques et l’entraînement des jeunes.» Ellen Sprunger, comme d’autres athlètes, fut mise à contribution mercredi soir avec la relève, puis jeudi sur la piste.

Le chrono du 4x100 m? 43’’64, loin des standards des relayeuses helvétiques. «Personnellement, je me sentais bien, davantage en confiance avec ma cuisse qu’à Rio, souligne la Ginginoise. Pendant la course, je n’ai pas tout de suite senti que cela ne fonctionnait pas. Toutefois, lorsque je donne le témoin à Salomé (Kora), les Ukrainiennes étaient déjà loin devant… Elles auraient pu faire un super-chrono, mais lorsque j’ai vu leur temps (ndlr: 42’’67), j’ai compris que nous n’allions pas faire...

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