Un point seulement les sépare avec dix courses encore à disputer: le duel entre Sebastian Vettel et Lewis Hamilton pour le titre mondial en F1 ne pouvait être plus serré, le cap de la mi-saison passé au Grand Prix de Grande-Bretagne, remporté dimanche par le héros national.
Depuis sa victoire inattendue dans la première manche australienne fin mars, Vettel a affiché une belle constance, signant six de ses sept podiums sur les six premières courses. Force est de constater que Ferrari a bien fait ses devoirs de vacances pour se mettre au niveau de Mercedes, triple championne du monde en titre pilotes et constructeurs, à la faveur du changement de réglementation technique intervenu à l’intersaison.
La Scuderia a créé la surprise avec une monoplace certes moins performante en vitesse pure – ce qui explique la supériorité des Mercedes en qualifications (six poles pour Hamilton, deux pour son coéquipier Bottas, les...