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«Peu de joueurs laissent un héritage»

Tête-à-tête avec Hakeem Olajuwan, figure de la NBA, introduit au Hall of Fame de la FIBA, samedi à Mies.

30 août 2016, 23:40
/ Màj. le 31 août 2016 à 00:01
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propos recueillis par david glaser traduction par florian sägesser

sports@lacote.ch

Durant dix-sept saisons, il a fait le bonheur des Houston Rockets – avec deux titres de NBA à la clé, en 1994 et 1995. Une année après, lors des Jeux olympiques d’Atlanta, Hakeem «The Dream» Olajuwon, né à Lagos, au Nigéria, a remporté la médaille d’or avec les Etats-Unis. Samedi matin, l’homme de 53 ans, désormais retiré mais qui dispense ses précieux conseils, notamment au Genevois Clint Capela, nous a accordé un tête-à-tête dans l’univers feutré de La Réserve, à Genève.

Hakkem Olajuwon, quelle raison vous amène ici, aux bords du Léman?

(Sourire) Mon introduction au Hall of fame de la FIBA, ce qui est un grand honneur pour moi.

Vous avez été sacré deux fois champion NBA avec Houston, on imagine que cette introduction au Hall of fame de la FIBA, une récompense sur le plan international, revêt...

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