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Italie, qui pour incarner la «Renaissance»?

15 nov. 2017, 00:28
Sweden's Ludwig Augustinsson, right, and Italy's Marco Parolo jump for the ball during the World Cup qualifying play-off second leg soccer match between Italy and Sweden, at the Milan San Siro stadium, Italy, Monday, Nov. 13, 2017. (AP Photo/Antonio Calanni)

Italie, année zéro. La fédération italienne se réunira mercredi à Rome pour «une analyse approfondie et décider des choix à venir», notamment celui du sélectionneur. La situation de Gian Piero Ventura est intenable après l’élimination du pays pour la Coupe du monde 2018 en Russie.

Carlo Tavecchio, président de la fédération italienne, a été le premier à parler d’«apocalypse» en cas de non-participation. Le mot a été depuis repris par tous et de nombreux observateurs estiment que le dirigeant qui a choisi Ventura devrait être le premier à payer le prix du fiasco.

Très abattus après le match, les cadres de la Nazionale ont cependant réussi à garder la tête froide. Le défenseur Giorgio Chiellini, qui n’a pas encore dit s’il continuait ou pas en sélection, a le mieux montré la voie. «On doit faire un examen de conscience. Après un échec de ce genre, il va y avoir...

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