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La science suisse menacée de déclin?

21 juil. 2016, 23:16
/ Màj. le 22 juil. 2016 à 00:01
Professor Blaise Genton, Chief Medical Officer for infectious diseases, poses for photographer after speaking on a Ebola vaccine trial, EbolaVac, at the CHUV, the University Hospital of Lausanne, Switzerland, Thursday, May 21, 2015. (KEYSTONE/Laurent Gillieron) SWITZERLAND EBOLA BLAISE GENTON

Philippe Boeglin

Le feuilleton continue et son dernier épisode ne figure pas à l’ordre du jour. La Suisse n’ayant pas encore ratifié l’extension de la libre circulation des personnes avec la Croatie, ses chercheurs redoutent toujours une exclusion du partenariat scientifique avec l’Union européenne (UE), le désormais fameux programme Horizon 2020. Zoom sur deux projets incarnant une thématique fréquemment abordée.

«Rien que du point de vue financier, Horizon 2020 représente notre deuxième source la plus importante, après le Fonds national suisse», souligne Blaise Genton, responsable au Centre hospitalier universitaire vaudois (Chuv) du projet renommé de développement d’un vaccin contre le virus Ebola.

A l’Université de Berne, le chercheur Adrian Jäggi, directeur d’EGSIEM, un programme qui veut mieux comprendre la gravitation, est catégorique: «Sans l’apport financier d’Horizon 2020, nous ne pourrions vraisemblablement pas mener notre projet, qui vise à détecter à l’avance les régions menacées par des inondations grâce aux...

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