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Pour mettre fin à la rougeole en Suisse

Selon l’OFSP, les vaccinations ont permis une baisse considérable de la maladie.

29 août 2016, 23:37
/ Màj. le 30 août 2016 à 00:01
EMBARGOED UNTIL MONDAY, MARCH 2, 2015 AT 12:01 A.M. EST. THIS PHOTO MAY NOT BE PUBLISHED OR BROADCAST BEFORE 12:01 AM EST MARCH 2 - FILE - In this Jan. 29, 2015 file photo, a pediatrician uses a syringe to vaccinate a 1-year-old with the measles-mumps-rubella (MMR) vaccine in Northridge, Calif. A national survey of doctors in 2012 suggests that parents have increasingly pressured doctors to delay vaccines for young children, making their kids and others vulnerable to preventable diseases. (AP Photo/Damian Dovarganes, File) Delaying Vaccines Key Questions

La nouvelle est plutôt rassurante: selon le dernier bulletin de l’Office fédéral de la santé publique (OFSP), les nombreuses vaccinations de rattrapage contre la rougeole administrées en cabinet se sont traduites par une «baisse considérable de l’incidence de la maladie, qui n’atteignait plus que 3 et 4 cas pour 100 000 habitants, respectivement en 2014 et 2015.» Au rythme actuel des rattrapages, selon l’OFSP, on pourrait enrayer la transmission de la rougeole en Suisse d’ici 5 à 6 ans.

Médecin adjoint en infectiologie de l’Hôpital fribourgeois, le docteur Christian Chuard apporte son éclairage sur cette nouvelle. Et explique en préambule: «On parle de vaccination de rattrapage lorsque l’on a manqué une étape dans le plan de vaccination. Car de nombreux vaccins requièrent plusieurs doses, étalées sur la vie d’un patient, pour garder son efficacité. C’est par exemple le cas du tétanos, qui nécessite un rappel tous les 20 ans.» En...

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