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Prise d’otage numérique

30 sept. 2016, 00:24
ARCHIV --- ZUM REKORDSTAND AN MELDUNGEN UEBER INTERNETKRIMINALITAET STELLEN WIR IHNEN FOLGENDES BILD ZUR VERFUEGUNG --- Ein Mann tippt Befehlszeilen in seinen Laptop, aufgenommen am 26. November 2009, gestellte Aufnahme. (KEYSTONE/Gaetan Bally) *** NO SALES, NO ARCHIVES *** SCHWEIZ REKORDSTAND CYBERKRIMINALITAET

Internet: toile peuplée d’araignées bien planquées prêtes à piéger la première proie venue. Comme ces hackers à la recherche de failles de sécurité informatique chez des particuliers ou des entreprises. Certains se sont fait une spécialité dans la prise d’otage des données numériques. Avec pour seule arme des «rançongiciels» (logiciel de rançonnage ou «ransomware» en anglais), baptisés Locky, TeslaCrypt ou CryptoWall, parmi plus de 180 déjà répertoriés.

Il suffit que l’utilisateur ouvre un email, clique sur la pièce jointe infestée par un de ces logiciels malveillants et c’est tapis rouge pour le cybercriminel. Il entre dans le PC ou le portable, séquestre les données et demande une rançon pour les restituer (voir ci-dessous). Une forme de cybercriminalité en forte progression dans le monde.

«Six cents cas par semaine»

Le vendeur américain d’antivirus Kaspersky Lab a donné en juin dernier une tendance à l’échelle planétaire: le nombre d’utilisateurs attaqués a été...

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