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Hauts et bas du musicien de rue

L'activité est difficile mais elle peut parfois aussi s'avérer lucrative.

11 févr. 2013, 00:01
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aguenot@lacote.ch

Ils animent nos villes mais quelle est au juste la condition des musiciens de rue? Entre la représentation romantique de l'activité - l'artiste bohème errant de ville en ville - et son pendant négatif qui prend la forme d'une mendicité déguisée, il est une autre réalité: celle de véritables musiciens qui ont choisi d'animer l'espace public pour gagner leur vie, se pliant à des horaires astreignants, à des règlements variables selon les villes (lire article en bas de page) et se déplaçant fréquemment dans tout le canton, voire même aux quatre coins du pays. Pour tenter de saisir leur quotidien, "La Côte" est parti à la rencontre de deux d'entre eux, Boboy et Sylvester Jacobs, particulièrement actifs dans la région.

Un choix avant tout

Né au Swaziland, Boboy est arrivé en Suisse il y a quatre ans après avoir bourlingué en Afrique et en Europe. Avec sa dégaine de...

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