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De Nadal au foot des talus, routines et superstitions guident les athlètes

De nombreux sportifs, même chez les amateurs, ont leurs petites manies avant ou pendant les matches. Mais pourquoi autant de personnes utilisent-elles des routines, voire des superstitions? Et sont-elles vraiment utiles? Décryptage.

14 déc. 2020, 18:00
Israel Perez, responsable de l'école du Tennis Club de Nyon, pose toujours son sac à sa droite "pour se repérer sur le terrain".

Rafael Nadal qui aligne ses bouteilles au millimètre à chaque changement de côté, Michael Jordan qui jouait avec son short de l’université sous sa tenue officielle ou encore Zinédine Zidane qui enfilait toujours chaussette et chaussure gauche avant la droite. Certains des plus grands sportifs de la planète ont (ou ont eu) leurs petites superstitions. Une technique comme une autre pour se rassurer à l’approche ou pendant un match.

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Pourtant, il faut bien dissocier les superstitions des routines, même si, parfois, la limite entre les deux est fine. «Les routines sont construites et contrôlées par l’athlète, c’est quelque chose d’intentionnel, alors que les rituels et les superstitions sont subis, explique Roberta Antonini Philippe, maître d’enseignement et de recherche en psychologie du sport à l’université de Lausanne. Les athlètes font ces superstitions de façon...

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