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La Suisse veut une réduction de l'opérationnalité des armes nucléaires

La Suisse, le Chili, la Malaisie, la Nouvelle-Zélande et le Nigéria ont plaidé à l'ONU pour que les armes nucléaires ne puissent pas être activée au quart de tour. Ils ont dépose une résolution allant dans ce sens.

18 oct. 2012, 06:41
L'ONU a commencé l'évacuation de son personnel international de certaines zones touchées par les violences religieuses dans l'ouest de la Birmanie. von elf U.N.-Organisationen im ehemaligen Abgeordneten-Hochhaus "Langer Eugen". "Die Bundesregierung profiliert den UN-Standort Bonn nicht genug", kritisierte der zustaendige CDU-Politiker Armin Laschet am Montag, 14. Juli 2008. Dabei sei Bonn ein Pfund, mit dem Deutschland wuchern koenne: "17 UN-Organisationen gibt es dort mit 650 Mitarbeitern", betonte der Minister. In Bonn arbeiteten die Vereinten Nationen unter den weltweit besten Bedingungen.  (AP Photo/Hermann J. Knippertz) **ZU APD4132**   ---The United Nations' flag flutters in front of the "U.N. Campus", the headquarters of eleven U.N. organisations, in Bonn, Germany, Tuesday, July 11, 2006.  (AP Photo/Hermann J. Knippertz)
La Suisse demande qu'aucune arme nucléaire ne soit maitenue à l'avenir au plus haut niveau de disponibilité opérationnelle. Elle a déposé mercredi une résolution à l'ONU pour atteindre cet objectif avec quatre autres pays.
 
Le Chili, la Malaisie, la Nouvelle-Zélande, le Nigeria et la Suisse sont préoccupés par le fait que de nombreux armes nucléaires puissent encore être activées au quart de tour dans le monde.
 
Ces armes possèdent la capacité destructrice de tuer des milliards de personnes et menacent l'existence de l'humanité, a déclaré dans un discours le chef de la Task Force sur le désarmement nucléaire du Département fédéral des affaires étrangères (DFAE), Benno Laggner.
 
"Nous trouvons anachronique que les passions qui marquaient le climat sécuritaire pendant la Guerre froide ont certes fortement diminué les niveaux d'alerte des arsenaux des grands Etats nucléaires n'ait toutefois pas reculé", a-t-il estimé.
 
Un élément clé du désarmement nucléaire est la disponibilité opérationnelle de telles armes. Une réduction du rôle des armes nucléaires peut être atteinte avec elle dans les stratégies sécuritaires des Etats, selon M. Laggner.
 
Il a reconnu que des progrès avaient été accomplis ces dernières années. Le nombre des armes en alerte est toutefois encore démesurément important, selon lui. L'objectif de la résolution est qu'aucune arme nucléaire ne soit à long terme maintenue au plus haut niveau d'alerte.
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