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Pas un adieu, mais un au revoir

Après avoir quitté son poste, il gardera un pied sur le campus de l’EPFL, notamment pour chercher à favoriser la création de start-up.

11 déc. 2016, 23:34
/ Màj. le 12 déc. 2016 à 00:01
Aussenansicht des Rolex Learning Centers der Ecole Polytechnique Federale de Lausanne (EPFL), aufgenommen am 25. Mai 2010 in Lausanne. Mit dem VIVAPOLY-Fest feiert die EPFL zusammen mit der Bevoelkerung dieses Wochenende das vom japanischen Architektenbuero SANAA entworfene Gebaeude. (KEYSTONE/Martin Ruetschi) === EDITORIAL USE ONLY, NO SALES, NO ARCHIVES === BILDPAKET ROLEX LEARNING CENTER

La suite de son aventure, Patrick Aebischer la mijote à quelques dizaines de mètres du bureau présidentiel, au cœur du quartier de l’innovation.

Son projet? «Je travaille à un fonds d’investissement dans la technologie pour développer la capacité pour les start-up de croître ici en Suisse». Autrement dit, un growth fund – un fonds de croissance – alimenté par des partenaires capables d’investir les dizaines de millions nécessaires à une jeune entreprise pour déployer tout son potentiel dans le tissu économique suisse. «Je connais pas mal de monde dans le domaine, que je suis en train d’essayer d’associer au projet», dit-il, sans les nommer.

Rêve de Silicon Valley

«Ce que j’aimerais avoir, ce sont les Logitech de demain», la société fondée au début des années 1980 à Apples (VD) par Daniel Borel, qui doit son succès aux souris informatiques. «Le problème, aujourd’hui, c’est que nos start-up sont...

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