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«Un geste de solidarité»

19 déc. 2016, 00:21
Ehemalige Verdingkinder und Opfer von fuersorgerischen Massnahmen posieren mit Kinderfotos vor dem Bundeshaus am Montag, 31. Maerz 2014, in Bern. Opfer administrativer Zwangsmassnahmen werden per Gesetz rehabilitiert. Einem ueberparteilichen Komitee genuegt dies nicht: Am Montag hat die Gruppe eine Initiative lanciert mit dem Ziel, einen Entschaedigungs-Fonds ueber 500 Millionen Franken einzurichten. Rund 20'000 Menschen sind im letzten Jahrhundert in der Schweiz Opfer fuersorgerischer Zwangsmassnahmen geworden. (KEYSTONE/Lukas Lehmann) SCHWEIZ VERDINGKINDER WIEDERGUTMACHUNG OPFER BUNDESHAUS KOMITEE

Les personnes dont la vie a été gâchée par des placements forcés ou d’autres mesures abusives ordonnées par l’Etat se sont battues durant des décennies pour obtenir réparation. Reconnues il y a peu en tant que victimes, elles sont aujourd’hui en passe de recevoir une compensation financière pour les injustices qu’elles ont subies.

Depuis le 1er décembre, ces rescapés peuvent demander une «contribution de solidarité» auprès de l’Office fédéral de la justice (OFJ). En automne, le Parlement avait en effet approuvé une loi visant à les indemniser à la hauteur de 300 millions de francs. Un guichet dédié au traitement de ces demandes ouvrira ses portes début janvier.

Traitement égalitaire

«Nous ne savons pas combien de victimes vont se manifester. Le Conseil fédéral table sur 12 000 ou 15 000 personnes», explique Reto Brand, responsable de l’unité provisoire, chargée d’attribuer la contribution de solidarité. «Il faudra attendre le 31 mars...

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