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Le périple de Marina, des eaux d’Iguazù à celles du Léman

Marina Cavelti a quitté l’Argentine en 1988. Elle a rencontré l’amour en Suisse. Et un travail idéal.

22 déc. 2016, 00:33
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marion police

morges@lacote.ch

Dans son salon aux teintes chaleureuses, Marina Cavelti a pris soin de sortir un drapeau argentin et un drapeau suisse. Elle les a disposés sur une table, tout près d’un sachet de «yerba mate», la plante que les Argentins infusent pour préparer le «maté». «Je n’en bois jamais le soir, sinon je ne dors pas. Il y a beaucoup de caféine dedans», explique-t-elle.

Marina Cavelti est née en 1960 à Corrientes, ville du nord de l’Argentine située sur la rive gauche du Rio Paraná, un fleuve immense qui se jette dans l’Atlantique. A la fin de sa scolarité, à 17 ans, la jeune femme doit choisir entre des études d’anglais ou de tourisme pour devenir guide. «J’ai finalement opté pour l’anglais que j’ai ensuite enseigné dans des écoles et à l’université. J’ai été interprète pour des Américains sur un chantier de plateforme pétrolière, puis pour des chercheurs...

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