Borex investira bien 196000 francs dans l’élaboration d’un nouveau plan général d’affectation. "Si nous ne tentons pas de réduire la capacité excessive de nos zones à bâtir via ce PGA, le Service du développement territorial pourrait bloquer tout projet immobilier à Borex, y compris la réhabilitation de bâtiments centraux et menacés de vétusté", a argumenté le syndic Jean-Luc Vuagniaux.
Ce chantier quinquennal peut s’ouvrir après le vote positif du conseil communal de lundi. Le syndic a tenu à préciser que "ce qui coûtera cher, ce ne sont pas les coups de crayon sur le plan, mais plutôt leurs couleurs... et surtout les réactions qu’ils susciteront!"