Le ciel pranginois est un peu plus vide depuis jeudi, 14 heures. Pour les navigateurs du Léman, c'est un repère en moins. Comme prévu de longue date, les deux mâts supportant l'antenne de Prangins ont été dynamités. En quelques secondes, 80 ans d'histoire (lire "La Côte" de jeudi) se sont trouvés réduits en tas de ferraille gisant au beau milieu d'un champ. "Ces derniers temps, nous avons ressenti un vrai mouvement de nostalgie chez la population. On nous a même suggéré de les garder comme support pour éoliennes" , racontait quelques minutes avant la première des détonations François Bryand, syndic de Prangins. Puis les deux explosions ont envoyé à terre les constructions bicolores . LDS
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