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Les particuliers plus impactés par la lutte contre la grippe aviaire

La grippe aviaire s'est propagée en Suisse il y a quelques jours. Dans la région, les normes de confinement des volailles inquiètent moins les professionnels que les "petits" éleveurs privés.

16 nov. 2016, 17:12 / Màj. le 16 nov. 2016 à 18:00
C'est sur les petites exploitations qu'il y a le plus de travail à faire.

Après la découverte de l’épidémie de grippe aviaire samedi dans le canton, trois autres cas ont été constatés mardi, dont un à Saint-Sulpice et un à Morges.

Ce mercredi, l’office fédéral de la sécurité alimentaire (OSAV) et des affaires vétérinaires émettait ses mesures pour lutter contre la propagation du virus (H5N8). Les volailles doivent être abreuvées et alimentées dans un poulailler fermé, inaccessibles pour les autres oiseaux. Si ces restrictions ne peuvent être respectées, les gallinacés doivent investir des locaux fermés, munis d’un toit imperméable.

«Pour moi, cela ne change pas grand chose, expose Etienne Clerc, le propriétaire de la ferme des Collines, sise à Moiry, au Pied du Jura. J’ai un grand jardin d’hiver dans lequel les poules ont quand même le sentiment d'être à extérieur.» A 9h ce matin, les 2000 poules pondeuses de cette exploitation bio attendaient l’ouverture des portes du poulaillers pour investir le parc d’un...

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