Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Les communes sont pressées par la loi sur l'accueil de jour

Dès le 1er janvier, les communes feront face à une importante refonte de la loi sur l’accueil de jour. Elles se disent prêtes.

18 sept. 2017, 18:09 / Màj. le 19 sept. 2017 à 07:00
Grâce à la journée d’accueil continu des enfants, le canton entend répondre aux besoins des familles d’aujourd’hui et à l’insertion toujours plus importante des femmes dans le monde du travail.

Après plus de sept ans de négociations, la réforme de la loi sur l’accueil de jour des enfants (LAJE) va officiellement entrer en vigueur en début d’année prochaine. Acceptée par le peuple en septembre 2009, elle marque un changement important puisque, désormais, de nouvelles prestations sont imposées aux unités d’accueil pour écoliers (UAPE) du parascolaire (lire ci-dessous).

>>Lire aussi: Une offre d'accueil qui s'agrandit

A compter du premier janvier, celles-ci devront proposer des horaires et des prestations élargies. Jeudi, à Gingins, la conseillère d’Etat Nuria Gorrite est venue rappeler leurs nouvelles obligations aux syndics du district de Nyon. Car aujourd’hui, le constat est sans appel: dans le canton, seuls 12 élèves sur 100 bénéficient d’une place en dehors de l’école.


«Il reste du travail pour coordonner les activités parascolaires des plus âgés»


A titre de comparaison, dans le canton de Genève – considéré comme ayant des caractéristiques socio-économiques similaires –...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias