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Aller simple pour Swatka City

24 nov. 2015, 23:42
/ Màj. le 25 nov. 2015 à 00:01
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Après «Nighthawks» (2012), les deux Bernois de Swatka City sortent «Marabu», un deuxième album au son rock réfléchi, classe et grandiose, dans la lignée d’Interpol ou de Damon Albarn. Les deux acolytes se sont enregistrés eux-mêmes dans une maison en Italie, ou encore dans un salon rempli d’instruments étranges. Les mélodies mélancoliques de la voix de l’un se mélangent avec les guitares et la batterie de l’autre, car ils ne sont plus que deux pour écrire, produire et jouer ce son complexe qui s’apparente à un rock profond et impulsif. Des basses bien grasses et fuzz ainsi que des solides synthétiseurs frappent nos oreilles dès l’introduction sans paroles, intitulée mystérieusement «Tatlagin Kholboo». La voix, souvent affublée d’un effet mégaphone, chante des paroles sombres adressées à on ne sait qui. Les guitares aux effets très travaillés, qu’elles soient acoustiques ou amplifiées, enchaînent les riffs, et les rythmiques évoquent les Dead Weather,...

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