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«Je préfère rêver en candide»

Le rappeur Hippocampe Fou excelle dans «Céleste», un deuxième album solaire à découvrir samedi à l’Usine à gaz. Interview.

29 nov. 2016, 23:11
/ Màj. le 30 nov. 2016 à 00:01
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propos recueillis par alexandre caporal

info@lacote.ch

Enfant de la génération Y, c’est avec sa websérie «Vidéo Rap» que le Français s’est fait connaître en 2010. Un savoureux mélange de grivoiseries, de poésie et de cinéma – sa première passion – qu’il distille alors sur YouTube. Tout son univers décalé et funambulesque est déjà là.

Après quelques essais sur scène, il publie trois ans plus tard un premier album du nom d’«Aquatrip». L’artiste définit alors sa musique comme du rap aquatique: des histoires fantaisistes, souvent humoristiques, contées avec une voix et un débit doux qui rappellent le phrasé de MC Solaar. En 2015, l’hippocampe quitte la mer pour les étoiles avec «Céleste», deuxième opus qui brille par sa légèreté et son optimisme. Coup de fil à celui qui a encore du mal à se faire appeler «rappeur».

Hippocampe Fou, ça sonne plus personnage de Disney que rappeur énervé…

ça me...

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