Propos recueillis par DANIEL BUJARD
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Il a cet air d’éternel adolescent, Jean-Michel Olivier. A 64 ans, ce Nyonnais respire la forme. Et s’il profite de sa récente retraite de l’enseignement en Lettres, le regard qu’il porte sur le monde qui l’entoure demeure toujours aussi vivace.
Avec son dernier opus, «Passion noire», qui vient de paraître aux éditions L’Age d’homme, l’écrivain met en scène un auteur plus véritablement en adéquation avec son temps. Sous la forme d’une narration épistolaire entre un écrivain à succès, Simon Malet, et l’une de ses lectrices, Marie-Ange Lacroix.
Sarcastique, volontiers provocateur, Jean-Michel Olivier explore les thèmes qui lui sont chers, comme les femmes ou encore l’image et la place de l’écrivain dans notre société numérisée, pour distiller quelques vérités de son cru. Rencontre.
Comment êtes-vous arrivé à l’idée de ce livre?
Je voulais aborder deux sujets à travers cet ouvrage. Celui des femmes d’une manière...