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Len Sander, partage de tâches

Le groupe zurichois passe par La Parenthèse ce vendredi pour clore en beauté la saison musicale du lieu. Sombre et dansant.

15 déc. 2016, 00:06
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dany abou-jaib

info@lacote.ch

Groupe zurichois formé autour de la voix mélancolique de Blanka Inauen, Len Sander mélange musique électronique et pop dansante. Ils situent volontiers leur son entre la dance music sombre et les formats plus commerciaux de l’electro. Dans leur dernier EP intitulé «Saltlick», des chansons au rythme lancinant côtoient des titres plus euphoriques, soutenus par des synthétiseurs Moog et des voix désaccordées par les effets des machines.

En 2015, dans «Phantom Garden», la voix de Blanka Inauen rappelait plutôt les Londoniens The XX, et leurs sonorités épurées, proches de la musique minimaliste.

Le groupe sera de passage à La Parenthèse ce vendredi pour transformer le caveau en vaisseau spatial. Entretien croisé avec Blanka Inauen, chanteuse et meneuse du groupe, et avec Alessandro Hug, claviériste et compositeur.

Vous êtes actuellement en Autriche, comment se passe la tournée?

Alessandro Hug: Nous venons de jouer quatre concerts, le nombre de personnes...

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