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«Moes» dans le sillage du blues

03 nov. 2015, 23:20
/ Màj. le 04 nov. 2015 à 00:01
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Le songwriter uranais sort tuba, banjo et violon, bretelles et bottes en plastique, en même temps que son troisième album intitulé «Oddities After The Heydays». Il y chante ses étranges chansons inspirées de ses voyages outre Atlantique, entre Detroit, ville de son «cœur», et Nashville «son amour». Les musiques traditionnelles américaines sont revisitées par ses nombreux musiciens répartis des deux côtés de l’océan: bluegrass, americana, pop et même folk sont soigneusement mélangés dans ce disque hors du temps.

Chœurs country; voix rauque qui parle de légendes du blues désormais éteintes; histoires de types qui perdent tout au jeu et ne peuvent pas dormir: tout cela sur une musique inventive, agrémentée d’un orgue par-ci, d’une guimbarde par là. Il serait dommage de comparer ce groupe à qui que ce soit, car les chansons de Moes, bien qu’inspirées par toute une tradition, sont réellement originales. La pochette de ce mystérieux opus est...

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