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A un mois des élections vaudoises, d’anciens responsables cantonaux formulent une revendication inattendue sous forme d’une lettre ouverte. Le patrimoine est menacé, selon eux, s’il reste dans le département des finances. Pascal Broulis conteste et voit plutôt une cohérence à cette répartition au sein du gouvernement.
Devant la presse, les représentants des signataires de la lettre ont expliqué mardi cette démarche «exceptionnelle» pour d’anciens «serviteurs de l’Etat». Ils affirment vouloir parler, alors que les spécialistes actifs «ne peuvent pas prendre la parole sans exposer leur carrière professionnelle».
Juge et partie
A leurs yeux, le patrimoine est menacé s’il demeure au sein du Département des finances et des relations extérieures. Aujourd’hui, Pascal Broulis est «juge et partie, c’est là le drame», a déclaré Denis Weidmann, ancien archéologue cantonal.
Le problème est avant tout «systémique» et il n’y a pas de visée électorale dans cette prise de position,...