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L’amour du risque d’une alliance

Isabelle Chevalley est arrivée pour donner l’espoir à la droite de reprendre le Château à la gauche.

12 mai 2017, 00:20
Lausanne, mardi 11 octobre 2016
Portrait d'Isabelle Chevalley, candidate aux élections au conseil d'Etat Vaud, à Lausanne

Sigfredo Haro Portrait Isabelle Chevalley, Lausanne

jérôme cachin - La liberté

info@lacote.ch

La voici donc à présent au centre de la scène, Isabelle Chevalley. Son arrivée pour le second tour de l’élection au Conseil d’Etat en fait le personnage du rebondissement. Jusqu’alors, le film était ennuyeux, avec la énième liste d’alliance PLR-UDC, avec six ministres voués à se succéder à eux-mêmes. Et donc un seul siège à repourvoir au sein d’un Conseil d’Etat satisfait et peu critiqué, dans son paradis de l’équilibre politique vaudois. Et soudain, la figure romande des Vert’libéraux ferait basculer l’élection vaudoise dans l’incertitude. À voir.

Dans ce rôle, elle doit dédiaboliser l’UDC Jacques Nicolet. L’UDC rangeait les Vert’libéraux avec la gauche pour justifier le refus de s’allier avec eux? Qu’à cela ne tienne. Elle doit aussi éroder le score de la socialiste Cesla Amarelle, promise par la gauche à la succession d’Anne-Catherine Lyon. Isabelle Chevalley y va au marteau-piqueur. «Communiste», lui lance-t-elle...

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