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Lausanne, un cas particulier?

Avec six élus sur sept, la gauche plurielle fait preuve d’une continuité étonnante à la Municipalité.

29 févr. 2016, 23:36
/ Màj. le 01 mars 2016 à 00:01
Gregoire Junod, centre, candidat PS, reagit en compagnie de Yvette Jaggi, gauche, ancienne Syndic de Lausanne et Daniel Brelaz, droite, Syndic de Lausanne, lors du premier tour des elections communales 2016 pour la Municipalite de la ville de Lausanne ce dimanche 28 fevrier 2016 a Lausanne. (KEYSTONE/Jean-Christophe Bott) SCHWEIZ KOMMUNALWAHLEN LAUSANNE

ats

info@lacote.ch

Identique à celui de 2011, ce nouveau raz-de-marée rose-rouge-vert ne devrait pas bouleverser la donne pour les élections cantonales du printemps 2017, estime le politologue René Knüsel.

«On aurait pu imaginer que le résultat des élections de 2011 à la Municipalité de Lausanne était unique, exceptionnel. Or celui de cette semaine y correspond exactement», a déclaré lundi à l’ats le professeur à l’Université de Lausanne.

«Le score est impressionnant avec trois électeurs sur cinq qui ont voté cette majorité. C’est la continuité. Malgré ou peut-être à cause du retrait de trois municipaux, le PLR Olivier Français, le Vert Daniel Brélaz et le popiste Marc Vuilleumier, la population garde confiance; c’est assez surprenant», note le politologue.

Corrections

Selon lui, ce succès est dû aux corrections faites en cours de législature: le pion le plus faible, Marc Vuilleumier, popiste en charge de la police, a été déplacé. Grégoire...

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