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Les Genevois respirent mieux grâce à un air moins pollué

Pour la première fois depuis 2002, les valeurs-limites du dioxyde d’azote n’ont pas été dépassées en 2016.

22 mai 2017, 23:23
/ Màj. le 23 mai 2017 à 00:01

La qualité de l’air s’est améliorée à Genève en 2016. Pour la première fois depuis 2002, les valeurs-limites journalières légales du dioxyde d’azote n’ont pas été dépassées. Et le niveau de pollution aux particules fines est le plus faible depuis le début des mesures, en 1998.

De fait, tous les seuils fixés par la loi en matière de particules fines ont, pour la première fois, été respectés dans le canton, alors que la population augmente. «Ces résultats sont très encourageants, mais il y a encore beaucoup à faire», a déclaré hier le conseiller d’Etat Luc Barthassat, chargé du Département de l’environnement, des transports et de l’agriculture.

Et de rappeler que la pollution de l’air est un grave enjeu de santé publique. Elle cause, chaque année en Suisse, 3000 à 4000 décès prématurés. Trois polluants principaux posent problème: l’ozone, le dioxyde d’azote et les particules fines, a indiqué Philippe Royer,...

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