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Sleep-In à nouveau sous pression

Depuis la fermeture de l’ex-halle Heineken, des migrants reviennent dans le jardin de la structure pour sans-abris.

07 avr. 2016, 23:53
/ Màj. le 08 avr. 2016 à 00:01
Des migrants et des membres du Collectif Jean Dutoit debarrasent des matelas devant l'ancien depot Heineken car ils doivent quitter les lieux ce jeudi 31 mars 2016 a Renens pres de Lausanne. Le contrat de confiance entre le Collectif Jean Dutoit et les transports publics lausannois, TL, concernant l'occupation de la halle Heineken ce termine aujourd'hui, les migrants quittent le batiment. (KEYSTONE/Jean-Christophe Bott) SCHWEIZ ASYL UNTERKUNFT LAUSANNE

MArio togni - le courrier

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Retour à la case départ. Jeudi passé, les dizaines de migrants occupant l’ex-halle Heineken, à Renens, quittaient leur abri hivernal à l’échéance du contrat conclu avec les Transports publics lausannois (TL), non reconduit. Pour aller où? Une partie d’entre eux ont repris leurs quartiers dans le jardin du Sleep-In, où toute l’histoire avait commencé l’été passé. Déjà, la pression monte sur la structure d’accueil pour sans-abris, alors que les autorités ne veulent pas d’un nouveau campement.

«Dès le jour de la fermeture de l’ancienne halle Heineken, il y avait du monde au jardin», relève Violaine Freléchox, membre de l’association du Sleep-In, dont le bâtiment est situé sur la commune de Renens mais sur un terrain appartenant à Lausanne. «Puis c’est allé en augmentant.» Selon elle, le nombre des migrants campant dans le jardin, malgré les barrières qui en entravent l’accès, oscille entre 15...

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