Avec ses 135 places, il ne sera finalement pas détruit avant fin 2019. Un accord a été trouvé entre la ville de Genève, le canton et la direction du CEVA pour permettre son exploitation pendant encore trois ans et demi.
Le foyer est bâti sur une parcelle proche de la future gare du CEVA. La ville de Genève avait signifié en janvier à l’Hospice général que les lieux devaient être libérés cet été. Mais les défenseurs des migrants et la gauche s’opposaient à la destruction du centre, qui dispose de chambres individuelles.
Un accord ayant été trouvé sur la non-utilisation du terrain pour les prochains trois ans et demi, l’Hospice général va immédiatement procéder aux travaux de remise en état de ce centre, a annoncé vendredi le Département des affaires sociales. L’institution avait cessé d’exploiter le centre à la fin du mois de juin.
Moins chers qu’un abri PC
Selon...