Le concept de «La ruche qui dit oui» prend racine dans le district de Morges. Après l’ouverture de la ruche de Saint-Oyens fin octobre 2017, deux nouvelles bourdonnent. A Morges, Delphine Meppiel a inauguré sa ruche jeudi dernier au Domaine de la ville. Celle de Saint-Prex, créée par Virginie Vieyres, ouvrira ses portes le 7 mars.
Initiateurs, producteurs et consommateurs se rassemblent autour de l’idée générale de «consommer local». Néanmoins, le principe est plus sophistiqué qu’il n’y paraît et se trouve au carrefour de ce que Carole Rahault, collaboratrice au Domaine de la Ville de Morges qualifie comme «éthique, pratique, rustique à l’ère 2.0».
Chacun sa colonie
En dehors de la charte du réseau national des ruches qui impose quelques règles communes à toutes les sections locales, les responsables de chaque «essaim» impriment leur personnalité sur place. Ainsi, Delphine Meppiel vit à Denens depuis un an. Cette Française...