La randonnée équestre réunit au moins quatre éléments qui en font un loisir qui a de l’avenir: mobilité douce, tourisme lent, connexion avec la nature et goût du terroir. Même si le paysage se transforme et les chemins se bétonnent, les hauteurs des districts de Morges et Nyon offrent un joli territoire aux cavaliers.
Pour développer et entretenir ce réseau de chemins cavaliers, les associations équestres misent sur la communication et la collaboration avec les communes et les particuliers propriétaires. Cependant, le cheval étant considéré par la loi comme un véhicule, les cavaliers doivent impérativement emprunter des voies carrossables. Ils sont donc amenés à partager routes et chemins avec les automobilistes, les cyclistes, les piétons et les autres animaux, sauvages ou domestiques. Cela ne s’improvise pas quand il faut garder le contrôle en toutes circonstances d’un animal pour qui la survie est la fuite.
Des chemins à partager
Le partage...