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La mise en œuvre de l’accord avec l’Iran demande du temps

Les entreprises suisses veulent s’implanter sur le marché iranien. Mais elles doivent s’armer de patience pour établir des relations commerciales.

11 juil. 2016, 23:34
/ Màj. le 12 juil. 2016 à 00:01
ZUM JAHRESTAG DES ATOMABKOMMENS MIT DEM IRAN, STELLEN WIR IHNEN AM MONTAG 11. JULI 2016 FOLGENDES ARCHIVBILD ZUR VERFUEGUNG. - In this Oct. 26, 2010 file photo, a worker rides a bicycle in front of the reactor building of the Bushehr nuclear power plant, just outside the southern city of Bushehr, Iran. Assassinations, cyber-attacks and possible military strikes: As nuclear negotiations with Iran enter a crucial stage, Tehran is voicing fears that tougher oversight of its activities will increase the risks of an attack on its atomic facilities and the scientists working on them. (AP Photo/Mehr News Agency, Majid Asgaripour, File) IRAN ATOMABKOMMEN JAHRESTAG

Eva Surbeck

Les entreprises suisses sont intéressées par le marché iranien. Mais nouer des contacts et établir des relations commerciales prend du temps. Et les sanctions mises en place par les Etats-Unis restent un obstacle au financement.

L’accord sur le programme nucléaire iranien signé le 14 juillet 2015 ouvrait la voie à une levée des sanctions contre le pays. La Suisse levait effectivement les siennes il y a près de six mois, le 17 janvier dernier.

Les milieux politiques et économiques suisses se promettaient beaucoup de ce nouveau marché de quelque 80 millions d’habitants: un mois après la levée des sanctions, le président de la Confédération, Johann Schneider-Ammann, emmenait en Iran une délégation d’une quarantaine de personnes issues de l’économie et de la science. En juin, les représentants des deux pays se rencontraient pour la première fois dans le cadre d’un dialogue économique à Berne. L’échange doit approfondir les relations...

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