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Les banquiers privés s'adaptent

Alors qu'UBS plonge dans le rouge, les établissements genevois Lombard Odier et Pictet abandonnent leur statut. Une évolution majeure.

06 févr. 2013, 00:01
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UBS boucle le quatrième trimestre et l'année 2012 sur une lourde perte. Sous le poids des charges liées à sa restructuration et des provisions constituées pour régler le scandale du Libor, le numéro un bancaire helvétique a essuyé, l'an passé, une perte nette de 2,51 milliards de francs.

Pour mémoire, UBS avait bouclé 2011 sur un bénéfice net de 4,14 milliards de francs, près de la moitié moins que les 7,53 milliards engrangés un an auparavant. 2012 a représenté une nouvelle année de défis pour l'industrie bancaire, l'environnement économique volatil ne restant pas sans effets sur la confiance des clients, a relevé, hier à Zurich, Sergio Ermotti, le patron de l'établissement.

Le Tessinois a aussi évoqué les faux pas du passé, se référant à l'implication d'employés d'UBS dans le scandale de la manipulation du taux Libor. Sur le seul quatrième trimestre 2012, la banque a plongé dans le rouge à...

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