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«Notre expertise va de la fève à la table des grands chefs»

Le géant Barry Callebaut, basé à Zurich, voit ses prévisions de croissance à la baisse. Son PDG, Antoine de Saint-Affrique, se confie.

05 nov. 2015, 23:48
/ Màj. le 06 nov. 2015 à 00:01
ARCHIV --- ZU DEN GESCHAEFTSZAHLEN VON BARRY CALLEBAUT STELLEN WIR IHNEN FOLGENDES BILD ZUR VERFUEGUNG --- Produkte des Schokoladenproduzenten Barry Callebaut werden in einer Auslage praesentiert, am Donnerstag, 4. November 2010 in Zuerich. Bis Ende August hat das Unternehmen 10.9 Prozent mehr Gewinn erwirtschaftet als im Vorjahr. (KEYSTONE/Steffen Schmidt) SCHWEIZ BARRY CALLEBAUT

Basé à Zurich, Barry Callebaut, premier producteur mondial de cacao, qui fournit aussi bien les glaces Magnum que le géant américain Kraft Foods, propriétaire des marques Suchard et Toblerone, revoit sa croissance à la baisse: 4 à 6% par an d’ici à 2018, contre 6 à 8% prévus jusqu’à présent. Le groupe, détenu à 58% par la famille Jacobs, est dirigé depuis un mois par un nouveau PDG, Antoine de Saint-Affrique, venu d’Unilever. Il doit faire face à un marché du cacao marqué par des prix élevés et des risques climatiques.

Vous avez pris les rênes de Barry Callebaut dans un contexte compliqué. La stratégie du groupe doit-elle évoluer?

Barry Callebaut est entré dans une nouvelle phase de son histoire: lorsque vous passez en moins de dix ans de 3 à 6 milliards de francs suisses de chiffre d’affaires, c’est naturel! Nous devons viser une croissance équilibrée entre nos volumes,...

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