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Potentiel chinois encore inexploité

Selon une nouvelle étude, de nombreuses PME renoncent à utiliser l’accord de libre-échange avec la Chine.

27 sept. 2018, 00:01
Geng Wengbing, Botschafter der Volksrepublik China, spricht mit Seco-Direktorin Marie Gabrielle Ineichen-Fleisch, anlaesslich einer Tagung ueber eine Evaluierung des Freihandesabkommens zwischen der Schweiz und China, am Mittwoch, 26. September 2018, in St. Gallen. Das Abkommen besteht seit 2014. Die Uni St. Gallen hat nun mit zwei chinesischen Hochschulen eine Untersuchung des Abkommens vorgenommen. (KEYSTONE/Gian Ehrenzeller) SCHWEIZ FREIHANDELSABKOMMEN SCHWEIZ CHINA

Des centaines de millions de francs: c’est ce que peuvent économiser, chaque année, les entreprises suisses et chinoises utilisant l’accord de libre-échange (ALE) entre la Chine et la Suisse, entré dans sa cinquième année. Mais plus de la moitié du potentiel d’importations et d’exportations n’est pas encore utilisée dans les deux pays. Hier, à Saint-Gall, Suisses et Chinois ont fait le point et dévoilé, aussi, leurs attentes.

«C’est la première fois que les mêmes paramètres ont été étudiés parallèlement en Chine et en Suisse», a expliqué, hier, le professeur Tomas Casas, directeur du Centre de compétences sur la Chine de l’Université de Saint-Gall. Chercheurs suisses et chinois ont travaillé ensemble. La prochaine étude devrait être présentée l’année prochaine, à Pékin.

44% d’importations chinoises

Entré en vigueur en juillet 2014, l’ALE sino-suisse, le premier du continent européen, prévoit la diminution progressive, durant quinze ans, pour certains produits importés par la...

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