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Puma doit se serrer la ceinture, des boutiques en feront les frais

Le chiffre d'affaires de l'équipementier sportif progresse moins que prévu. Les bénéfices plongent malgré une forte présence aux JO.

20 juil. 2012, 00:01
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A une semaine des JO, Puma, troisième sur le podium des équipementiers sportifs derrière Nike et Adidas, connaît un sérieux coup de fatigue. La filiale de PPR a prévenu mercredi qu'en raison d'un ralentissement de son activité, son résultat baisserait de 13% au premier semestre. Elle va donc "accélérer et amplifier la mise en oeuvre" de son plan de transformation pour rationaliser sa base de coûts et améliorer son efficacité.

La société ne prévoit plus qu'une progression de ses ventes autour de 5% sur 2012, contre pratiquement 10% jusqu'ici.

"Puma est une marque qui fonctionne très bien, dynamique dans les pays émergents, mais qui souffre en Europe. Ce n'est pas le chiffre d'affaires qui nous préoccupe, mais la rentabilité" , assure Jean-François Palus, directeur général délégué de PPR, qui supervise plus particulièrement le pôle sport-lifestyle que le groupe veut bâtir autour du Puma. Il précise que "les années olympiques sont...

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