Annoncée la veille du 1er avril 2016, la vente de Carambar a peut-être fait sourire les fans adeptes des fameuses blagues du célébrissime bâtonnet au caramel. C’était pourtant un nouveau chapitre important que s’apprêtait à ouvrir la marque, ainsi qu’une grosse dizaine d’autres (Krema, La Pie qui chante, Michoko, Poulain…) en entrant au cœur de négociations exclusives entre Mondelez, vendeur de ses activités confiseries tricolores, et Eurazeo.
Ce nouveau chapitre officiellement acté, avec l’entrée ce mardi dans le giron d’Eurazeo, permettra à ce dernier de dérouler ses plans. Le but: réveiller ces belles endormies. Iconiques, ces marques n’étaient pourtant pas centrales dans le dense portefeuille de Mondelez. Trop locales et difficilement exportables, elles ne correspondaient plus à la stratégie de l’américain de miser sur des marques internationales. Conséquence, elles ont été très délaissées d’un point de vue marketing.
Carambar totalise 50 millions de ventes
La part de marché du portefeuille...